THEME 2 : PSYCHO-SPIRITUELLE

Code 0030

Rédigé entre 1968 et 1972 à partir de notes prises par l’auteur auprès de son guide, Swâmi Prajnanpad (1891-1974), les trois tomes des Chemins de la Sagesse, aujourd’hui en un seul volume, restituent sous la forme d’un exposé rigoureux les découvertes d’un disciple à la recherche du Soi.

Alors réalisateur à la Télévision française, Arnaud Desjardins y expose l’enseignement qu’il s’appliquait lui-même à mettre en pratique jour après jour. Source indispensable aux lecteurs désireux d’aborder ou de cerner dans son essence la démarche qu’il propose, cet ouvrage ouvre une voie concrète et nous rend accessibles, ici et maintenant, les vérités centrales de la métaphysique hindoue. Tous les aspects de notre nature trouvent leur place et leur fonction provisoire dans la voie qu’Arnaud Desjardins a élue pour lui-même, l’adhyatma yoga, dont les disciplines sont compatibles avec les conditions de vie des Occidentaux modernes. Rien de ce qui se manifeste en nous n’est rejeté : tous est assumé, intégré et transformé. L’accent mis par l’auteur sur la connaissance de soi et des mécanismes mentaux intéressera tous ceux que préoccupent les recherches contemporaines de la psychologie des profondeurs. Bien au-delà de l’Inde et des enseignements proprement orientaux, cette trilogie est en somme un traité de sagesse à l’usage des “homme de bonne volonté”. On y retrouvera les échos d’une connaissance universelle, à laquelle peuvent puiser aussi bien agnostiques que croyants.

Code 0031

Les quatre tomes de “à la recherche du Soi” ont été écrits à partir de causeries enregistrées au Bost, le premier “ashram” animé par Arnaud Desjardins en Auvergne. Elles s’adressaient à un petit auditoire de personnes désireuses d’approfondir l’enseignement que lui-même avait reçu de son propre maître, Swâmi Prajnânpad, mort en 1974.

Depuis la première parution de ces ouvrages (entre 1977 et 1980), le nom de Swâmi Prajnânpad est devenu peu à peu connu en France. Des philosophes comme André Comte-Sponville, des universitaires comme Michel Hulin le mentionnent dans leurs ouvrages. Mais les pages qui suivent ne sont pas un exposé rigoureux de son enseignement, comme l’a tenté un autre de ses élèves français, Daniel Roumanoff. Elles expriment les convictions de l’auteur lui-même et ce qu’il a compris, année après année, auprès de ce maître.

L’adhyatma yoga qu’incarnait Swâmi Prajnânpad s’apparente, avec sa technique propre, au yoga de la connaissance dont une part, consacrée à la mise au jour de l’inconscient, rejoint les découvertes de la psychologie des profondeurs. Il n’implique aucune conversion religieuse à l’hindouisme et propose à notre vérification personnelle des vérités qui peuvent être précieuses pour tous, chrétiens, athées, psychologues, chercheurs de sens.

Arnaud Desjardins a conservé la forme directe de l’entretien en pensant à tous ceux et celles qui lui écrivent et auxquels il ne peut répondre. Ces pages sont comme une longue lettre qu’il leur adresse personnellement.

Code 0032

Les quatre tomes de à la recherche du Soi ont été écrits à partir de causeries enregistrées au Bost, le premier “ashram” animé par Arnaud Desjardins en Auvergne.
Elles s’adressaient à un petit auditoire de personnes désireuses d’approfondir l’enseignement que lui-même avait reçu de son propre maître, Swâmi Prajnânpad, mort en 1974.

Depuis la première parution de ces ouvrages (entre 1977 et 1980), le nom de Swâmi Prajnânpad est devenu peu à peu connu en France. Des philosophes comme André Comte-Sponville, des universitaires comme Michel Hulin le mentionnent dans leurs ouvrages. Mais les pages qui suivent ne sont pas un exposé rigoureux de son enseignement, comme l’a tenté un autre de ses élèves français, Daniel Roumanoff. Elles expriment les convictions de l’auteur lui-même et ce qu’il a compris, année après année, auprès de ce maître.

Au-delà du moi, nous invite à redécouvrir la paix du coeur et la sérénité dont nous frustre l’égocentrisme, en parcourant le chemin de la connaissance et de la liberté. Au-delà du moi, c’est aussi au-delà du doute la certitude, au-delà des souffrances la joie non dépendante.

Arnaud Desjardins a conservé la forme directe de l’entretien en pensant à tous ceux et celles qui écrivent et auxquels il ne peut répondre. Ces pages sont comme une longue lettre qu’il leur adresse personnellement.

Code 0033

Pour l’Occident, la mise au jour de l’inconscient se présente comme une technique d’invention récente issue des découvertes d’un médecin de génie, Sigmund Freud.

Mais l’importance de l’inconscient est, depuis plus de deux mille ans, une donnée essentielle des disciplines ascétiques et yogiques de l’hindouisme et du bouddhisme. Pour celles-ci, il n’y a “conscience” que si le conscient et l’inconscient ont fusionné. Cet ouvrage intéressera donc les psychologues et psychothérapeutes qui pourront confronter leurs principes et leurs méthodes avec ceux de la “sagesse” orientale.

Arnaud Desjardins a conservé la forme directe de l’entretien en pensant à tous ceux et celles qui écrivent et auxquels il ne peut répondre. Ces pages sont comme une longue lettre qu’il leur adresse personnellement.

Code 0034

Dans cet ouvrage, Sogyal Rinpoché concilie l’ancienne sagesse du Tibet et la recherche contemporaine sur la mort et les mourants, sur la nature de l’esprit et de l’unives.

Le livre Tibétain de la Vie et de la Mort clarifie, pour la première fois, la vision complète de la vie et de la mort telle que nous l’offre la tradition tibétaine. L’auteur explique notamment les “bardos”, ces états de conscience après la mort qui ont tant fasciné et fait s’interroger les artistes, psychologues, scientifiques, médecins et philosophes occidentaux depuis la publication en 1927, du Bardo Thödol (le livre des Morts Tibétain).

Sogyal Rimpoché montre que dans la mort, comme dans la vie, l’espoir existe et qu’il est possible à chacun de nous de transcender sa peur ou son refus pour découvrir ce qui, en nous, survit et ne change pas. Il propose des”pratiques” simples mais puissantes que chacun, quelle que soit sa religion ou sa culture, peut accomplir afin de transformer sa vie, se préparer à la mort et aider les mourants.

Ce livre présente également une introduction lucide et complète à la pratique de la méditation, ainsi qu’aux notions de renaissance et de karma.

A ceux qui accompagnent les mourants, l’auteur indique comment les assister avec amour et compassion et comment leur apporter l’aide spirituelle à laquelle tout être humain a droit. A ceux qui travaillent en milieu hospitalier, médecins ou personnel soignant, il donne des conseils qui enrichiront leur expérience. L’auteur nous fait partager sa vision personnelle de l’expérience de proximité de la mort (NDE), selon la perspective tibétaine.

Le Livre Tibétain de la Vie et de la Mort n’st pas seulement un chef-d’oeuvre spirituel. C’est aussi un manuel, un guide, un ouvrage de référence et une source d’inspiration sacrée.

Code 0035

Amour, Sagesse, Vérité, le Nouvel Enseignement élève l’être humain vers les cimes spirituelles et, dans la liberté, donne une impulsion nouvelle à la Vie dont il fait comprendre le sens véritable.

Défié plus particulièrement aux hommes à la conscience éveillée, cet Enseignement d’Amour est le chemin le plus direct et le plus efficace pour édifier un monde nouveau dans lequel chaque être deviendra un maillon de la chaîne infinie qui relie tous les êtres entre eux, conscients de la Vie Universelle, dans le Visible et l’Invisible.

Dans le Nouvel Enseignement, nul n’est sollicité, personne n’est exclu et aucune liste nominative n’est dressée. Chacun conserve sa liberté et n’est lié que par un lien spirituel et fraternel.

Le Maître Beïnca Douno (Peter Deunov) né le 11 juillet 1864, son enseignement est basé sur l’enseignement du Christ. L’Amour, la Sagesse et la Vérité sont les bases de son enseignement qui reconnaît les trois lois : de l’évolution, de la réincarnation et des causes et des effets.

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Dans l’avant-dernier chapitre de l’Apocalypse saint Jean écrit : “Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre, car le premier ciel et la première terre avaient disparu….” Comment interpréter cette vision ?

“Dans le langage éternel des symboles, le ciel représente la partie spirituelle de l’homme, le domaine de la pensée ; et la terre représente la concrétisation, la réalisation dans la matière. Comme dans l’univers, dans l’être humain aussi le ciel et la terre sont inséparables, et un “nouveau ciel” signifie une philosophie nouvelle qui donne naissance à une “nouvelle terre”, c’est-à-dire à une nouvelle façon de vivre. La tête est dans le ciel et les pieds sont sur la terre. Les pieds, c’est ce qui marche d’après la tête, car les pieds courent toujours là où la tête a déjà quelques projets.

“Efforcez-vous donc d’entrer dans le nouveau ciel, c’est-à-dire d’accepter la nouvelle philosophie ; et une fois acceptée, il s’agit de l’appliquer. L’application, justement, c’est cela la nouvelle terre….Toutes les méthodes que donne notre Enseignement concernant les différents actes de la vie quotidienne, la nutrition, la respiration, les relations avec les êtres humains et avec l’univers, représentent la nouvelle terre inspirée par le nouveau ciel”  Omraan Mikhaël Aïvanhov.

Code 0037

Hildegarde de Bingen, un nom hier encore inconnu en France sauf à quelques-uns, se répand actuellement très vite, et ce n’est pas un hasard. Car, pour notre époque de désagrégation toutes directions, il transmet une image unifié du monde et une image de nous-mêmes en ce monde dont la cohérence et l’ordre sont parfaits, puisque émanant de la “Lumière Vivante”.

Hildegarde de Bingen, mystique et sainte du XIIème siècle, étonne d’abord par sa personnalité et par sa vie. Après avoir passé des années dans l’ombre (mais non dans l’inaction) au monastère bénédictin de Disibodengerg en Hesse rhénane, cette femme de grande foi qui, toute jeune déjà avait des visions, est littéralement mandatée par Dieu pour écrire ce qu’elle voit et entend. Le pape Eugène III soutient ses écrits au synode de Trèves devant une assemblée de prélats, et l’autorise à les publier. C’est le début d’une vie publique stupéfiante : Hildegarde intervient dans les affaires politiques du grand empereur Barberousse, mais rappelle aussi vertement à leurs devoirs certains princes de l’Eglise. Elle échange des lettres avec les grands de son époque. Elle est écoutée dans tout le nord de l’Europe.

Mais tout aussi saisissants sont l’oeuvre scientifique (traité de médecine et traité de sciences naturelles) et l’art de guérir que Hildegarde nous a légués. Ils sont, comme ses visions, divinement ordonnés et tiennent compte de l’homme en son unité d’âme et de corps. Loin d’être surannés, ils rencontrent aujourd’hui un intérêt croissant auprès des médecins et d’hommes de science.

Hildegarde de Bingen, une personnalité rarement égalée dans les siècles suivants, une vie riche et féconde, une oeuvre magistrale, son application thérapeutique à travers 70 plantes (les plus importantes pour Hildegarde)….C’est tout cela que nous invite à découvrir ce livre.

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Le livre de Wighard Strehlow, entièrement fondé sur la thérapeutique psychophysique de Hildegarde de Bingen, nous révèle les extraordinaires forces de vie et de guérison inhérentes à l’âme humaine ; des forces capables de prévenir les maladies, voire de les guérir, de nous apporter la santé au sens vrai et le bien-être profond.

Hildegarde de Bingen, dont l’oeuvre est d’une sagesse stupéfiante, prend en compte les connexions complexes entre le corps et l’âme. Elle nous apprend que tout dysfonctionnement d’ordre psychique ou physique est porteur d’un message, que derrière chaque maladie il y a des forces de vie insoupçonnées. Elle nous apprend à comprendre le sens derrière l’apparent non-sens, à voir le bien derrière le mal, à transformer le négatif en positif.

A tous ceux qui cherchent à améliorer la qualité de leur vie ce livre donnera les directives nécessaires.

Wighard Strehlow a été formé par le Dr Hertzka et il possède une expérience de vingt années de la thérapeutique holistique de Hildegarde. Il dirige depuis 1993 la maison de cure de Sainte-Hildegarde sur les rives du lac de Constance.

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Pourquoi aller voir un thérapeute ? pour soulager son mal-être, sa douleur, pour en trouver la cause et pour changer de comportement. Mais le plus souvent, la personne en thérapie ravive les événements douloureux du passés et parfois s’y enlise, devant un thérapeute qui reste muet, impuissant. Or, la meilleure façon n’est-elle pas pour le patient d’ouvrir son coeur en exposant ce qui le fait souffrir actuellement devant un thérapeute apte à l’amener vers la transformation de l’action ?

Forte de cette conviction, l’auteure a créé en 1983 l’approche intégrative. Cette thérapie consiste à utiliser simultanément plusieurs techniques thérapeutiques tant occidentales qu’orientales : l’écoute, l’analyse, la neurologie, la relaxation, l’hypnose, la méditation, le Qi Gong, le massage, l’acupuncture, les herbes, l’alimentation et la musique. Des exercices physiques ou mentaux sont crées et suggérés pour chaque personne afin qu’elle soit pleinement active et responsable face à sa guérison. Cette méthode intégrative agit par l’énergie active et positive pour transformer les formes négatives du mental, des émotions et du physique, rétablissant ainsi l’équilibre et la santé.

Nicole Tremblay est membre de l’odre des acupuncteurs depuis 1987 et docteur en psychologie depuis 1990. Formée en psychanalyse de Jung, elle est également membre de la Société québécoise d’hypnose depuis 1990 et de la Transcultural Society for Clinical Meditation depuis 1996. Professeure certifiée de Universal Tao Center de Maître Mantak Chia, elle enseigne, depuis 1989, la méditation taoïste. Elle exerce en cabinet privé depuis 1983, en plus d’écrire et de donner des conférences. elle a publié aux éditions Quebecor le Tao de l’alimentation, un art de la santé.

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Dans les lettres écrites à ses disciples, Svâmi Prajnânpad, qui fut, entre autres, le maître de Arnaud Desjardins, démonte avec rigueur et clarté les rouages de notre mental et dévoile le jeu de nos émotions qui nous séparent de la réalité. Le chemin qu’il propose, celui de la connaissance, unit l’intellect, le coeur et l’action : voir ce qui est, l’accepter et faire l’expérience de l’unité. C’est pourquoi il dit : “Toute action qui ne nous procure pas de joie est nocive”.

Michel Hulin, dans sa préface, écrit : “Faire descendre la non-dualité du ciel sur la terre, tracer un chemin pratique qui permette de la vivre et pas seulement de la penser, tel est l’inestimable présent dont Svâmi Prajnâpad, aujourd’hui retiré dans la dimension de l’invisible, ne cessera jamais de gratifier ceux de ses lecteurs qui viendront à lui avec toute leur âme.”

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Retrouver sa connexion perdue avec l’Univers.

Des principes shamaniques peuvent-ils donner des réponses aux questions majeures et intemporelles de l’existence humaine ? Avec modestie et clarté, Tony Samara présente dans ce livre la quintessence de conceptions shamaniques universelles qu’il a apprises lors de son cheminement initiatique en Amazonie et dans les Andes. Jamais dogmatique, son message ne cherche pas à convaincre, mais traduit d’abord un désir de partager ce qu’il a vécu et compris. Simple et direct, il donne au lecteur le sentiment de déjà savoir intuitivement tout ce dont il est question….De la consommation de nourriture au travail avec les rêves, des cinq éléments aux quatre points cardinaux, des exercices physiques et respiratoires à la méditation, et bien d’autres thèmes, ce livre rappelle, et met ainsi à la disposition de chacun, des sagesses ancestrales plus utiles que jamais aujourd’hui.

Né en 1965 d’une famille aux origines culturelles diverses (européennes et moyen-orientales), Tony Samara a très tôt eu pour but principal l’accomplissement spirituel. Ses choix clairs et ses expériences de vie l’ont conduit à réaliser le potentiel sans fin de l’être humain. L’enseignement qu’il incarne invite à dépasser nos limitations pour retrouver l’essence de ce que nous sommes.

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Le dialogue d’un scientique français devenu bouddhiste et d’un bouddhiste vietnamien devenu scientifique.

La science et la spiritualité éclairent chacune à leur façon la vie des hommes : pourquoi, à défaut de se rejoindre, ne seraient-elles pas complémentaires ? Las, nous dit-on, la connaissance scientifique et la connaissance spirituelle sont trop étrangères l’une à l’autre pour que leur confrontation puisse être autre chose qu’un dialogue de sourds….

C’est précisément à faire mentir cet antagonisme que s’attachent ici Matthieu Ricard et Trinh Xuan Thuan. Le champ des interrogations est vaste : Quelle est la nature du monde ? de l’Univers ? de la matière ? du temps ? de la conscience ? Comment mener notre existence ? Comment vivre en société ? Comment marier science et éthique ? Quant aux réponses, le lecteur jugera si elles sont conformes aux idées qu’il se faisait par avance.

Car au fil de ce dialogue passionné, animé par un sincère désir de compréhension réciproque, se produit l’inattendu : les oppositions s’estompent, les convergences se font jour, et l’on se prend à rêver d’un avenir où foi et raison seraient, enfin, durablement réconciliées.

Matthieu Ricard est devenu moine bouddhiste après avoir été chercheur en biologie. Il a écrit, avec son père, Jean-François Revel, Le Moine et le Philosophe. Il est aussi l’interprète français du Dalaï-Lama.

Trinh Xuan Thuan, astrophysicien, est professeur à l’université de Virginie. Auteur, entre autres, de la Mélodie secrète et du Chaos et l’Harmonie, il est réputé pour la clarté de ses exposés et son ouverture d’esprit dans les domaines scientifique et philosophique.

Code 0043

Née en 1952, Isabelle Laading a étudié et enseigné le Yoga pendant vingt-cinq ans, ainsi que le Do-In et la relaxation coréenne, avant de s’initier aux pratiques du Shiatsu et aux exercices de santé orientaux.

Par la suite, l’étude de l’acuponcture, de la diététique et de la phytothérapie chinoises a complété sa formation et sa pratique.

Les cinq saisons de l’Energie traduit remarquablement toute la richesse de l’expérience acquise par l’auteur en médecine traditionnelle chinoise, qu’elle continue d’étudier, de pratiquer et d’enseigner.

Forte de ses 4000 ans d’existence, la médecine traditionnelle chinoise nous offre avant tout les clés d’un Art de vivre, qui met l’accent sur la prévention et l’harmonie indispensable entre l’homme et les éléments. Loin de se contenter de soigner, la médecine traditionnelle chinoise propose d’abord une hygiène de vie en étroit rapport avec les cycles naturels.

Les cinq saisons de l’Energie est un ouvrage pratique qui puise ses leçons au coeur de la traditions chinoise, tout en tenant compte des exigences modernes. Dans un langage clair et accessible à tous, maintenant l’équilibre entre les aspects théoriques et pratiques, l’auteur vous invite à être attentif et créatif au fil de votre vie quotidienne.

Code 0044

Ibn’Arabi (Murcie 1165 Damas 1241), philosophe, théologien et mystique musulman, est reconnu dans la tradition du Soufisme comme le plus grand Maître. C’est le philosophe qui a sans doute le mieux théorisé l’unicité de Dieu, reconnaissant la présence divine en toute forme et toute image. Disant de lui : “Je ne sui ni un prophète, ni un Envoyé, je suis simplement héritier, quelqu’un qui laboure et ensemence le champ de la vie future”. Ibn’Arabi se donnait la capacité de convoquer les prophètes lors de “présences imaginales” se considérant comme l’équivalent des Envoyés de Dieu.

Plus qu’une biographie du Maître Ibn’Arabi, l’ouvrage est une étude, une analyse approfondie de l’univers de la spiritualité comme source de “l’imagination créatrice”.

Selon ces réflexions et méditations, la Création, macrocosme cosmique, ombre visible de la lumière originelle est d’abord une matérialisation du verbe divin. Aux conditions initiales de la création des mondes répond la créature imaginant aussi son monde ou ses mondes poursuivant elle-même la création et la renouvelant. C’est par cette étude, fondatrice dans son oeuvre, que Corbin a forgé le concept “d’imaginal” initiant ici le décloisonnement qu’il poursuivra à travers toute son oeuvre entre l’imaginaire et la science.

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A l’aube du millénaire passé, sur les rives du Gange, Tilopa transmettait l’enseignement du Tantra à son disciple Naropa. Du moment sacré de cette transmission entre maître et disciple est né le Chant du Mahamudra.

A l’aube de ce nouveau millénaire, c’est l’essence même de l’enseignement du grand sage bouddhiste qu’Osho fait revivre avec précision, humour et profondeur. Pour lui, Sigmund Freud, Carl Jung et Wilhem Reich ont préparé l’Occident à la voie du Tantra. Tel un alchimiste de l’âme, Osho sait unir la sagesse orientale et la psychologie occidentale pour qu’une explosion silencieuse se produise en nous. Ainsi notre être se révèle à sa véritable nature, afin de vivre une vie détendue et naturelle.

A travers les commentaires qu’Osho nous donne de ce texte classique de la spiritualité orientale, il nous transmet non seulement la sagesse de la tradition tantrique, libre des conventions sociales et de ses dualités, mais aussi des éléments pratiques et des techniques de méditation pour que cette sagesse illumine notre quotidien.

Un livre à vivre !

Osho est reconnu comme l’un des mystiques majeurs du XXè siècle et l’Inde, son pays de naissance, lui accorde maintenant une grande considération. N’appartenant à aucune tradition, il est considéré par beaucoup comme un véritable maître tantrique. Ses enseignements sont d’ailleurs étudiés dans certaines écoles bouddhistes et le Dalaï Lama lui-même a déjà exprimé la grande estime qu’il avait pour l’oeuvre d’Osho.

Code 0046

Symboles, contes, mythes et traditions

• Ascèse et maladie
• Relativité du végétarisme
• Bouddha et le Christ
• Les Béatitudes
• La science spirituelle et le langage
• Caractère des langues chinoise, sémite et indo-européenne
• Rire et pleurer
• La tragédie et la comédie
• Nature de la mystique, ses dangers
• Nature de la prière
• Le “Notre-Père”
• Prière et art
• Maladie et guérison
• L’homme positif et l’homme négatif
• Erreur et égarement mental

Comme les mathématiques ou les sciences de la nature, l’investigation spirituelle est basée sur la précision. Et j’ajouterai : là où la recherche scientifique trouve ses bornes, c’est là que la recherche spirituelle commence son travail, et avec la même rigueur. Cette étude stricte, elle l’applique tout d’abord à l’être humain lui-même, qui doit devenir investigateur spirituel et modèle ainsi en lui l’organe qui doit atteindre jusqu’aux faits du suprasensible.

Le terme de “précision” dont je fais ici usage à propos de l’investigation spirituelle, se rapporte en fait à la préparation minutieuse de l’organisme interne, spirituel. C’est lui dont le chercheur doit avoir une vue précise, contrôlable. Lorsqu’il l’a atteinte, il peut faire pénétrer son regard dans le monde des faits suprasensibles. Cette exigence préalable d’une préparation rigoureuse à la perception suprasensible nous autorise à lui donner le nom de clairvoyance exacte, méthodique. C’est là son caractère distinctif. Rudolf Steiner.